Nous allons pas à pas vous expliquer comment effectuer votre premier investissement en bourse. Vous comprendrez pourquoi le PEA est plus intéressant pour cela que le compte-titres, comment choisir où ouvrir votre PEA et apprendre à passer un ordre. Avec cela, le PEA n’aura plus de secrets pour vous !
[cmtoc_table_of_contents]Pourquoi le PEA est l’enveloppe fiscale idéale pour débuter en bourse ?
Comment gagne-t-on de l’argent en bourse ?
Pour comprendre pourquoi le PEA est l’enveloppe fiscale idéale lorsque vous effectuer votre premier investissement en bourse, il faut être au clair sur comment on gagne de l’argent en bourse et sur la façon dont vos gains seront imposés. On peut donc gagner de l’argent en bourse de deux façons : avec les dividendes ou avec les plus-values.
Les dividendes vous sont versées par l’entreprise si celle-ci a réalisé un bénéfice sur l’année qui vient de s’écouler et qu’elle a décidé de vous en reverser une partie. Vous gagnez de l’argent en bourse simplement car vous détenez une action d’une entreprise. Mais vous pouvez aussi en gagner en vendant cette action. Sur notre exemple, vous avez acheté une action 100 € et la revendez un peu plus tard 200 €. Vous avez ainsi gagné 100 €. Bien sûr, si vous conservez une action 5 ans avant de la vendre, vous pouvez gagner de l’argent grâce aux dividendes et à la plus-value de cession. Mais jusqu’ici, ce ne sont que des gains « bruts ».
Comprendre la fiscalité boursière
Dès que vous gagnez de l’argent, vous êtes en effet imposé(e) dessus (ou susceptibles de l’être). Au niveau de vos gains en bourse, la fiscalité a récemment évolué avec l’introduction du PFU (prélèvement forfaitaire unique) que l’on appelle communément la « flat tax ». Cela donne la chose suivante :
Aujourd’hui, vous devez donc vous acquitter d’une taxe de 30 % sur la valeur de vos gains bruts. Le fait d’avoir 12,80 % prélevés au titre de l’impôt sur le revenu signifie que vous ne serez pas imposés à nouveau sur vos gains au moment de payer vos impôts. En fait cela traduit le prélèvement à la source et a aussi pour objectif de rendre l’investissement boursier plus attractif en réduisant son imposition et surtout en la simplifiant.
Il y a cependant 2 exceptions à cette flat tax. La première est que vous pouvez tout de même opter pour l’imposition au barème progressif de l’impôt sur le revenu. Dans ce cas vous paierez 17,20 % au titre des prélèvements sociaux et le solde (82,80 % de vos gains donc) sera intégré au calcul de votre impôt sur le revenu. En échange vous bénéficiez d’un abattement de 40 % sur la valeur de vos gains et également de l’abattement pour durée de détention. Globalement, à moins d’être déjà dans les tranches d’imposition les plus élevées et d’avoir vendu des actions qu’on détenait depuis plus de 8 ans, cela n’a aucun intérêt et il vaut mieux préférer la flat tax. Si vous souhaitez plus de renseignements sur cette option, le site du Ministère en donne.
La seconde exception, et celle qui nous intéresse, est le PEA. Dans ce cas vous n’êtes pas imposé(e) sur vos gains tant que vous ne retirez pas tout ou partie de votre argent. Et si votre PEA a plus de 5 ans, vous êtes exonéré(e) de l’impôt sur le revenu sur vos gains (mais quoi qu’il arrive vous devrez payer les prélèvements sociaux). Je ne vais pas rentrer dans les détails du fonctionnement du PEA car l’article de Mounir l’explique très bien :
Mon objectif est plutôt de vous faire comprendre l’intérêt du PEA quand on vise la liberté financière
Pourquoi le PEA convient à la quête de la liberté financière
Ce qu’il vous faut retenir c’est que, en visant la liberté financière, nous cherchons à accumuler un patrimoine financier qui nous génèrera des revenus passifs. Durant la phase de constitution de ce patrimoine, tous les gains qu’il génère sont donc réinvestis. Or avec un compte-titres classique, vous réinvestissez vos gains après imposition. Vous perdez donc continuellement une partie de vos revenus, ce qui amoindrit l’effet des intérêts composés et allonge d’autant la durée nécessaire à la constitution de votre patrimoine.
Avec le PEA en revanche, vos gains ne sont pas imposés tant que vous ne retirez pas votre argent et surtout, passés 5 ans, en partie défiscalisés. Donc concrètement, à investissement et stratégie comparable, vous obtiendrez un bien meilleur rendement net d’impôts sur un PEA que sur un compte-titres. Mais alors, pourquoi tout le monde n’en a-t-il pas un ?
Les faiblesses du PEA
Il y a de nombreuses raisons pour lesquelles chaque Français n’a pas de PEA. En premier lieu le manque d’éducation financière. Beaucoup malheureusement assimilent la bourse au casino et ont des maux de tête quand on leur parle de fiscalité. Le sujet ne les intéresse donc pas ou leur fait peur. Ils n’ont donc ni PEA ni compte-titres et parfois aucune assurance-vie (ou alors seulement en fonds en euros dont on sait qu’il ne rapporte plus rien). Ça c’était pour le petit moment « nous versus eux » 😉
Le PEA a plus sérieusement deux faiblesses. La première est que vous devez attendre au moins 5 ans avant qu’il ait un intérêt. Votre argent n’est pas bloqué mais vous n’avez pas intérêt à le sortir. Si vous voulez récupérer même 100 € sur un PEA valant 10 000 € avant ses 5 ans, tout le plan sera clôturé. Normalement, ce n’est pas vraiment un problème car on investit ce dont on a pas besoin. Mais cela peut le devenir, notamment dans des temps exceptionnels comme celui que nous traversons aujourd’hui.
Le second point faible du PEA tient aux actifs sur lesquels on peut investir et aux stratégies que l’on peut avoir. Celui-ci est à mon avis plus problématique que le précédent. En théorie vous ne pouvez investir que sur des actions françaises et européennes et sur des fonds comportant au moins 75 % d’actions européennes. Les marchés financiers ont heureusement inventé une astuce qui vous permet d’investir sur un tracker du S&P 500 depuis votre PEA : les ETF à réplication synthétique. Je vais volontairement laisser ne pas expliquer ce dont il s’agit car à ce stade ça n’est pas important. Malgré cela, vous ne pouvez pas détenir en propre une action Amazon ni investir sur des matières premières. À noter que le choix d’ETF disponibles dans le PEA est bien plus réduit que sur un compte-titres classique (une centaine sur le PEA). Enfin, vous ne pouvez pas développer de stratégie d’arbitrage en vendant à découvert par exemple.
Si on résume. Sauf cas particuliers, le PEA convient parfaitement à vos premiers pas en bourse pour avancer vers la liberté financière. Au commencement, votre portefeuille aura quelques ETF qui sont tous disponibles sur le PEA. Comme vous investissez dans le temps long, vous pourrez pleinement bénéficier des exemptions fiscales prévues.
Maintenant que nous avons compris cela, passons à votre premier investissement.
Comment effectuer mon premier investissement sur mon PEA ?
Comment choisir mon courtier pour mon PEA ?
Si vous n’avez pas de PEA, il vous faut en ouvrir un. C’est donc le moment de faire un choix.
Pour choisir votre courtier, il faut d’abord chercher à minimiser les frais et ensuite à maximiser les services qu’il propose (interface, réactivité du service client, etc.). Commençons par les frais.
Les banques traditionnelles ne sont pas du tout compétitives dès lors qu’il s’agit d’investir en bourse. D’ailleurs, en règle générale, leurs produits d’investissement ne sont pas de bonne qualité (notamment leurs assurances-vie). Nous avons seulement laissé le Crédit Mutuel et la Société Générale à titre de comparaison. Il vaut mieux que vous ouvriez votre PEA auprès d’un courtier en ligne ou d’une banque en ligne pour minimiser vos frais.
Voici un tableau résumant les frais des banques les plus attractives :
Vous l’aurez compris, du point de vue des tarifs, notre préférence va à Bourse Direct et à Binck. Bourse Direct est légèrement moins chère que Binck mais là on raisonne vraiment à la marge. Leurs autres avantages résident dans le faible montant du dépôt minimal à l’ouverture (pas d’excuse pour ne pas prendre date donc) et dans la gratuité des frais de transfert (pratique si dans quelques années un acteur encore plus compétitif émerge).
Juste pour la comparaison, voici les tarifs du Crédit Mutuel et de la Société Générale (qui devraient donc évoluer au 1er juillet 2020 avec le plafonnement des frais du PEA imposé par le gouvernement) :
Sources :
Je ne vois pas d’immenses différences dans les interfaces de ces banques. Il y a en revanche une légère différence entre la disponibilité des services clients :
- Bourse Direct : 9h-20h en semaine, 11h-15h le samedi,
- Binck : 8h-19h en semaine,
- Boursorama : 8h30-18h en semaine,
- Fortuneo : 9h-17h30 en semaine.
Il semble cependant que les services de Binck et Bourse Direct soient submergés par les demandes d’ouverture en ce moment, ce qui entraîne d’importants délais d’ouverture. Dans ce cas, si vous ne souhaitez pas attendre, nous vous recommandons de vous tourner vers Fortuneo (qui demeurait plus compétitif que Boursorama).
Quelle épargne utiliser pour effectuer mon premier investissement ?
Nous en sommes donc au moment d’effectuer votre premier investissement via votre PEA. Vous l’avez peut être ouvert avec le versement minimal de 1 € pour prendre date, mais cela ne vous permettra pas d’investir. Concrètement, il va vous falloir réallouer une partie de votre épargne actuelle vers votre PEA. J’écris cela car pour beaucoup d’entre nous, au moment d’ouvrir un produit d’investissement, nous avons déjà une partie de notre épargne que nous comptons investir dessus. Mais est-ce une bonne idée ?
La question mérite d’être posée car il ne faut pas que cet investissement fragilise votre santé financière en pompant votre épargne. Souvenez-vous bien que les sommes investies dans un PEA ne sont pas réellement bloquées, mais que tout retrait avant au moins 5 ans entraîne la clôture du plan, la perte des avantages fiscaux et donc une belle facture des impôts.
C’est la raison pour laquelle je vous conseille d’utiliser de l’épargne que vous avez en excès de votre épargne de précaution (3 à 6 mois de salaire) pour investir dans votre PEA. Ne prenez pas non plus cette épargne si elle était affectée à d’autres projets, donc à l’accomplissement d’objectifs toujours valables. En particulier s’il s’agit de projets que vous voulez mener à court-terme, puisque l’horizon d’investissement dans un PEA est celui du temps long.
Comment déterminer le montant de mon premier investissement ?
Le montant de votre premier investissement dépend ensuite de votre stratégie. Concrètement, si vous choisissez de n’investir que dans un unique ETF, vous pouvez vous contenter d’investir entre 100 et 500 €. En revanche, si vous souhaitez vous constituer un portefeuille de trackers, il faudra privilégier un montant plus élevé. Je dirai au moins 500 € et plutôt 1 000 €. Cela vous permettra notamment de réduire les frais de transaction (même si ceux si sont peu élevés si vous avez ouvert votre PEA auprès d’une banque en ligne). Mais cela reste-t-il valable si je veux et peux investir 10 000 € ?
Il y a en effet une petite subtilité ici. Rappelez-vous qu’un PEA est constitué de deux poches qui sont pour simplifier un compte en banque et un compte-titres. Si vous virez 10 000 € de votre compte en banque vers votre PEA, ils atteriront sur la poche compte en banque de votre PEA. Il vous faudra ensuite vous rendre dans l’interface de votre banque pour passer vos ordres d’achat. Vos actions et trackers apparaîtront alors dans la poche compte-titres de votre PEA. Ainsi, techniquement, si vous virez 10 000 € sur votre PEA, ils ne sont pas immédiatement investis sur les marchés. Encore vous faut-il acquérir des titres avec cet argent.
Aussi, quand je vous parle de votre premier investissement, je parle bien des ETF que vous allez acquérir. Si vous virez 10 000 € sur votre PEA et n’en investissez que 1 000 € lors du premier mois, le montant de votre premier investissement est de 1 000 € et non 10 000 €. Mais revenons à ces 10 000 €. L’intuition ne nous dicterait-elle pas de les investir au compte-gouttes pour ne pas trop souffrir des fluctuations du marché ? Ou même d’attendre le bon moment pour investir ?
Le bon moment, c’est maintenant
Nous sommes convaincus chez Money Doctor que le manque d’éducation financière nous conduit à prendre souvent de mauvaises décisions pour nos investissements. Mais nos biais cognitifs et comportementaux sont tout aussi dangereux. Heureusement, on peut s’en prémunir en les connaissant, donc en améliorant son éducation financière. Or, nous venons justement de mettre le doigt sur l’un de ces biais. C’est celui qui vous incite à attendre le « bon moment » pour investir.
Honnêtement, en regardant ce graphique, ne vous êtes-vous pas dit qu’il fallait effectivement atteindre que le marché ait atteint un point bas pour acheter (ces petits points bleus) ? Puis bien sûr vendre au plus haut.
Malheureusement, cela ne fonctionne qu’en théorie sur des données de séances passées. N’oubliez pas que 90% des gérants professionnels qui gèrent activement leurs investissements en essayant de timer le marché échouent à battre leur indice de référence. Or ce biais nous pousse à penser que nous serons meilleurs qu’eux. Rendez-vous service et investissez sans attendre le « bon moment ». Car comme le disent les anglo-saxons :
« Time in the market beats timing the market. »
Le bon moment pour investir c’est donc maintenant (ou hier dans la réalité). Mais n’est-ce pas jouer un coup de poker que de miser en une seule fois 10 000 € Ne gagnerait-on pas à découper cette somme en plusieurs petits investissements pour moins pâtir des fluctuations des marchés ?
Investissez en une seule fois sans vous préoccuper des fluctuations
Ici le manque d’éducation financière et nos biais agissent de concert.
Le manque d’éducation financière nous pousse à assimiler la bourse au casino. Or ce n’est pas le cas. D’ailleurs, n’investissez-vous pas sur les marchés financiers car vous pensez qu’ils sont haussiers sur le long-terme ? Dans ce cas, les fluctuations de très court-terme ne doivent pas vous empêcher d’entrer sur les marchés. Cela est d’autant plus vrai si vous diversifiez votre portefeuille. En effet, l’allocation de votre portefeuille est bien plus importante que le timing pour vous protéger des fluctuations du marché. Je répète ce point car il est vraiment important : c’est la façon dont vous allouez vos investissements qui vous aidera à réduire la volatilité de votre portefeuille et non le moment où vous le constituez.
Ainsi, découper son investissement initial en plusieurs petits versements n’a que pour unique but de nous rassurer. Il s’agit donc d’un biais. Mais, lorsque l’on regarde l’évolution du cours du CAC 40 de ces 20 dernières années, il semble essentiel d’essayer de timer le marché, ou au moins de découper ses investissements.
Après tout, si on avait investi son capital en une seule fois au 1er janvier 2000, on aurait aujourd’hui perdu 30% de la valeur de son investissement. Pas vrai ?
En réalité absolument pas. Car vous regardez le mauvais graphique. Ou du moins seulement une partie de l’équation.
En effet, à la différence d’autres actifs tels que les cryptomonnaies, les actions produisent des revenus (plus ou moins réguliers) : les dividendes. Ne regarder que la valeur du capital oublie donc les flux de revenus, qu’ils aient été consommés ou réinvestis. Si l’on reprend notre exemple du CAC 40, c’est là qu’intervient l’indice CAC 40 GR (Gross Return), c’est-à-dire la performance du CAC 40 dividendes réinvestis. Il valait 8 380 points au 1er janvier 2000 et 11 980 le 25 mars 2020, soit une hausse de 43 % sur la période. Conclusion : vous avez gagné de l’argent grâce à votre investissement. Certes, il n’a pas fait de vous le roi / la reine du pétrole, mais il a été profitable.
Comment passer mon premier ordre en bourse ?
Passer un ordre de bourse est très simple. Rendez-vous dans l’interface de votre courtier et :
- Tapez le nom de l’action (Air Liquide), ou son code mnémonique (AI), ou son code ISIN (FR0000120073). Il en est de même pour un tracker qui a un nom (AMUNDI MSCI WORLD UCITS ETF – EUR (C)), un code mnémonique (CW8) et un code ISIN (LU1681043599). D’ailleurs vérifiez bien que les codes correspondent à l’action que vous voulez acheter. C’est surtout vrai pour les trackers dont les noms vous paraîtront barbares au début.
- Choisissez un règlement au comptant,
- Vous pouvez ensuite soit fixer une quantité d’actions à acheter soit un montant maximal,
- Enfin vous choisissez le type d’ordre. Vous pouvez globalement le passer au marché ou à cours limite. Pour comprendre cela il faut savoir que le prix de l’action n’est pas vraiment important, ce qui compte c’est ce qu’on appelle le « carnet d’ordres ». Je reprends l’exemple d’Air Liquide sur l’interface de Boursorama :
On voit ici le carnet d’ordres, avec une colonne à la vente et l’autre à l’achat. Si vous passez un ordre « au marché », votre ordre sera exécuté au meilleur prix proposé dans la colonne vente et non au cours de l’action (bon sur la capture d’écran c’est la même chose mais ce n’est pas toujours le cas). Vous pouvez aussi passer un ordre à cours limite, comme ceux que vous voyez dans le carnet d’ordres. Vous pouvez décider d’acheter 100 actions à 115 €. Votre ordre ne sera en revanche exécuté que lorsqu’un investisseur sera disposé à vous vendre 100 actions à 115 €, ce qui peut être demain, comme jamais !
Le mot de la fin
Vous gagnez donc à réaliser dès maintenant votre premier investissement sur votre PEA. N’attendez pas que les conditions de marché s’améliorent ou qu’ils s’effondrent pour y entrer « à bon prix ». Notre objectif ici est d’investir sur le long terme pour atteindre la liberté financière. Il ne s’agit pas de s’improviser trader. Car sur le long terme, « time in the market beats timing the market ».
Je dois vous avouer que lors de mes premiers investissements sur mon PEA, j’ai essayé de timer le marché et d’étaler mon investissement initial. J’investissais d’ailleurs exclusivement dans des actions d’entreprise et non dans des ETF. Mais j’ai peu à peu appris davantage sur la gestion de mon portefeuille et ai commencé à le rééquilibrer pour inclure des trackers. J’ai également voulu questionner mon intuition qui me dictait d’étaler ce premier investissement, même si cela me semblait du bon sens. J’avais raison de le faire.
À l’heure où j’écris ces lignes, je viens de passer beaucoup plus de temps à repenser l’allocation de mon PEA qu’à attendre le bon moment pour investir. Car en définitive c’est cette diversification qui sera garante de ma performance. Je vous encourage donc à faire la même chose, même si cela vous semble parfois contre-intuitif.
*
J’espère que cet article vous permettra de mieux savoir comment effectuer votre premier investissement en bourse.
Photo by Alex Holyoake on Unsplash
Passionné par les nouvelles technologies, la gestion de patrimoine et la lutte contre le manque d’éducation financière, je suis à mes heures perdues un amateur de bons vins 🍷 Essayez donc un petit Moscato d’Asti lors de votre prochain apéritif…